lettre au chroniqueur du Gondwana
Cher Monsieur le chroniqueur, Puisque ta chronique est devenue indispensable au mediavore, que je suis, je n’ai pas résisté à l’envie de t’adresser enfin une lettre. D’emblée j’aimerais que tu ne t’offusques pas du fait que je prend la liberté de te tutoyer, hein! Tout comme tu ne prends jamais la peine de frapper à ma porte avant d’entrer dans ma maison et de maltraiter l’actualité sans état d’âme. De…