Eseka: les réseaux sociaux sont ils à blâmer?
Le vendredi 21 octobre a été surnommé « vendredi noir » par les camerounais à cause du drame d’Eseka. Il s’est dégagé une certaine unanimité quand il s’est agi de déplorer ce drame. A ma connaissance personne ne s’est publiquement réjouit de ce que des centaines de pauvres gens ont perdus leurs vies. La controverse est née par rapport à la responsabilité des pouvoirs publics et ceux qui les incarnent…